L'AIMER
Cela paraît simple, inné, instinctif. Et pourtant, c'est le travail le plus difficile qu'il soit.
Aimer son animal, c'est l'accepter dans les bons comme dans les mauvais moments. Voilà la responsabilité sous-jacente de ce terme.
Cela implique de l'accompagner pour se sentir mieux, de l'aider à s'améliorer, et de lui apporter ce qui le rend heureux.
LE RESPECTER
Un terme anodin, mais avec un si gros fardeau à porter. Si l'interdiction des outils coercitifs est entrée en vigueur, il reste tant de chemin à parcourir. Quelque soit notre niveau : fédération, clubs de races, éleveurs, propriétaires, pensions, refuges, éducateurs, ou même mairies. Nous avons tous un rôle à jouer, alors aidons nous les uns les autres à offrir une vie digne à nos animaux.
LE PROTEGER
Que l'on considère notre animal comme un membre de notre famille ou non, il est sous notre responsabilité. Et ce jusqu'à sa mort. En d'autres termes, cela signifie que nous devons lui éviter tout danger, direct ou indirect. Un danger direct peut-être ses soins de santé réguliers. A contrario, un danger indirect pourrait être la fugue aux conséquences administratives lourdes.